Cap’ Poste Habitat est le projet d’entreprise 2024-2027 du Groupe Poste Habitat. Sylvie Vandenberghe, Directrice de Toit et Joie – Poste Habitat, se prête au jeu de l’interview pour expliquer, en quelques questions, les étapes ayant donné naissance au projet d’entreprise Cap’ Poste Habitat et ses ambitions.
Pourriez-vous expliquer la genèse du projet d’entreprise Cap’ Poste Habitat ?
Notre entreprise doit faire face à des défis majeurs tels que la crise du logement, les enjeux climatiques et énergétiques, ainsi que les évolutions des besoins des collectivités et de nos locataires. Il est essentiel d’avoir une stratégie solide pour nous adapter à ces changements. Le projet Cap’ Poste Habitat est donc né de notre volonté de la redéfinir pour les années à venir.
Quelles ont été les étapes pour bâtir ce projet d’entreprise ?
Ce projet a été élaboré collectivement, en impliquant l’ensemble des salariés, sur les 4 sociétés et à tous les postes. Cette démarche était essentielle pour que les équipes s’approprient le projet et nous assurer que notre stratégie reflète véritablement les besoins de nos locataires et de nos collaborateurs, mais aussi des territoires.
Sylvie Vandenberghe, Directrice de Toit et Joie – Poste Habitat
Quelles sont les principales conclusions de ce travail collaboratif ?
Cette approche nous a permis d’aboutir à des orientations stratégiques claires et concrètes, tout en favorisant l’engagement et la motivation de nos équipes. Elles continuent d’ailleurs à participer sur les différents projets pour les structurer et les mettre en œuvre.
Pour conclure, quelles sont les orientations prioritaires pour l’année 2024 ?
Pour cette année, nous mettons l’accent sur la réponse aux besoins de nos locataires, ainsi que sur la mise en place de notre stratégie de développement durable. Nous veillerons également à renforcer l’intégration des nouveaux collaborateurs au sein de l’entreprise. 2024 sera une phase cruciale pour la concrétisation de nos projets et les premières étapes de la réalisation de nos objectifs.
© Vincent Colin